La plage était déserte… ou presque, et Michel m’aimait…
C’est là qu’ils m’aimèrent si bien !!!
La pénombre commence à tomber sur ce morceau de plage. Pour accéder à cet endroit un petit sentier qui descend de manière abrupte, vient déboucher soudain sur quelques dizaines de mètres carrés d’un sable d’une incomparable douceur. Michel est moi sommes venus presque chaque jour ici, un peu à l’écart de la foule des grandes plages de notre bien-aimée Bretagne. Moi je suis Claude, brune, frisée d’un bon mètre soixante-quinze, taille encore fine, ceci malgré ma quarantaine bien engagée. J’ai étalé mes cinquante-cinq petits kilos sur une immense serviette, laissant le soleil me dorer doucement la peau, la rendant de cette couleur miel qui ravi mon mari.
J’ai caché mes grands yeux verts sous un large bandeau et je suis somnolente, sur cette plage de rêve. Hormis Michel, juste deux hommes sont présents sur deux draps de bain posés cote à cote. Ils rient de concert et se rendent de temps à autre dans la grande bleue aux reflets d’azur. Michel comme à son habitude nage calmement dans les flots dansants et j’entraperçois de temps en temps sa tête qui émerge de l’élément liquide. Je suis étourdie par ce soleil radieux qui depuis quinze heures me couvre de ses bienfaisants rayons. Il commence cependant à décliner et l’ambre solaire n’est plus désormais nécessaire, les risques de brûlures se sont légèrement dissipés.
Michel ruisselant remonte de sa baignade et son sourire aussi me rejoint. Il vient, s’essuie lentement, laissant apparaître à chacun de ses gestes quelques beaux muscles que sa bonne quarantaine n’a pas encore effacés. Il s’étend près de moi et ses lèvres déposent dans mon cou un tendre bisou. Nous restons ainsi allongés, l’un près de l’autre et nous bavardons gentiment. D’un geste doux il pose une main sur mon dos et tendrement caresse ma peau, avec des mouvements calmes. Ma tête est calée sur mes avant-bras et je vois que les deux amis sont dans la même position que moi, mais nos visages, distant de dix ou douze mètres se font face.
Je sais qu’ils nous observent et je chuchote à Michel
— Ils nous matent, les deux-là !
Celui rit, mais sa main se déplace légèrement le long de ma colonne vertébrale et au passage elle dégrafe le mini soutien-gorge que je venais de remettre, juste avant son retour. Ses doigts s’attardent un instant sur ma taille, j’entends son « je t’aime » au creux de mon oreille. Puis lentement cherchant à s’aventurer davantage, je sens que l’élastique de mon slip est doucement soulevé, les mains de Michel viennent maintenant voyager sur mes fesses.
—Tu as le plus beau cul du monde, mon cœur !
Me balbutie-t-il avec cette voix aux intonations que je connais bien, celles de ses envies.
Je laisse faire, les yeux mi-clos, appréciant la caresse, de ces doigts experts que j’aime tellement. Lorsque j’entrouvre à nouveau les yeux, je vois que les deux amis se sont discrètement rapprochés de nous. Il leur suffirait d’étendre les bras pour pouvoir me toucher. Je mets ma tête dans le creux de l’épaule de mon mari. Ses mains ont pris possession de mes deux fesses et les malaxent doucement, et d’un ou deux doigts malicieux, il dénoue les ficelles de mon string. Je sais que les deux hommes voient mes rondeurs et cela m’excite plutôt.
— Nous allons leur en donner pour leurs sous !
J’écoute ce que murmure mon mari espiègle. Ses mains quittent mes fesses et il me prend par le bras, ses gestes me forcent presque à me retourner, et je me mets donc sur le dos. Maintenant je sais que ma poitrine est en droite ligne avec le regard des deux amis. La bouche de Michel vient sur la mienne et un baiser fougueux, passionné nous colle l’un à l’autre. La pointe de mes seins est en érection et c’est ainsi que les doigts de Michel les trouvent, les caressent, les pressent l’une contre l’autre. Je commence à oublier tout ce qui m’entoure pour goûter au plaisir de ses caresses. Les lèvres de mon mari viennent entourer l’un de mes seins et une main glisse sur mon ventre, se frayant un chemin vers la fourche de mes cuisses. Comme c’est bon.
Il tourne un peu un doigt sur les poils de mon pubis et l’envoie en éclaireur, chercher son chemin vers mon abricot doré qui commence doucement à s’éveiller. La main tout entière vient fendre en deux le minou qui l’attendait et le frôlement sur le clitoris m’arrache un feulement de bonheur. Les doigts s’activent, se déplacent, font monter ma température, doucement, mais sûrement. Alors mes mains entrent elles aussi dans la danse et viennent chercher refuge sur le corps de Michel. Je caresse son torse imberbe, descendant vers la tige turgescente, durcie par l’envie. Nos lèvres se soudent et nos langues s’emmêlent dans un ballet qui nous coupe le souffle.
Mon sexe est maintenant en feu et je sens qu’il pleure d’envie, qu’il quémande d’autres présences, bien plus… profondes. Mon ventre se creuse sous les doigts qui le pénètrent, qui tournent dans son tréfonds, sous le délicieux frottement de mon clitoris maintenant gonflé, impatient de savourer les assauts habiles de mon mari. Ma bouche vient le long de ce bassin qui balance doucement devant mes yeux et elle trouve son bâton de maréchal, elle s’entrouvre pour le happer et je lèche avec ardeur cette queue flamboyante, pic d’amour dressé fièrement en mon honneur. La bouche de Michel est, quant à elle, arrivée sur mon port qui s’ouvre encore davantage pour laisser passer sa langue et mon volcan laisse échapper sa lave, qu’il lape avec délectation.
Je ne m’appartiens plus totalement, je m’offre à l’homme de ma vie, à celui que j’aime, sans crainte, sans réticence. Mes bras se déplacent et ma main se crispe sur un objet dur qu’elle garde prisonnière entre mes doigts.je ne comprends pas immédiatement et je continue à serrer fort ce que ma menotte a trouvé. C’est aussi chaud, doux, vivant, j’entrouvre les yeux et je vois avec stupeur que j’ai un deuxième sexe dans la main. Il appartient à des deux hommes qui se sont rapprochés de nous quelques minutes plus tôt. Je regarde Michel et son regard brillant de plaisir m’encourage à aller plus loin encore.
Il continue à me fouiller la chatte de sa langue qui papillonne de haut en bas, frôlant l’œillet brun de mon anus. Je prends son sourire pour un acquiescement et je déplace ma bouche vers cette autre bite tendue qui n’attend que l’office de mes lèvres. Le second larron voyant cela, vient aussi poser ses mains sur ma peau couleur miel et c’est une autre musique qui commence avec comme unique partition : mon plaisir. Le dernier arrivant est près de Michel et sa main vient en renfort de la langue de mon mari, caressante et douce, m’ouvrant à des sensations démultipliées, inconnues. Je vois Michel qui pose la main sur la nuque de l’inconnu et la tête de celui-ci descend doucement vers la queue tendue, il ouvre les lèvres et commence à sucer mon mari tout en continuant de me masturber lentement.
Moi, je lèche encore plus profond la bite de son ami, quand le plaisir m’emporte dans un long frisson, tant la scène est excitante. Je ne retiens plus mes cris, je geins et soupire, prise par le tourbillon de l’envie de sentir encore et encore mon corps vibrer sous les mâles caresses. Nous sommes seuls au monde, avec la nuit qui descend et que le ciel lentement s’obscurcit. Je sens tirée par les pieds, posée à même le sable et c’est en position de soixante-neuf que je me retrouve rapidement. Le vit entre et ressort de ma bouche, dur, long, et ma chatte est envahie par des doigts, une langue agile qui me font fondre. Pas un instant je ne songe que je trompe mon mari. Pendant que vaillamment je pompe le dard lourd qui me vibre dans la bouche, je sens qu’une queue prend possession de mon sexe. Mon mari ou l’autre homme ?
Mes mains s’affairent sur les couilles de la bite que je suce. J’entrevois des mains qui viennent de part et d’autre du postérieur de l’homme que je lèche. Je reconnais les doigts de mon mari. Son sexe vient et pénètre dans ma bouche avec celui qui s’y trouve déjà. Je prends les deux et ma salive coule sur les deux manches. Alors je réalise que Michel vient de poser son gland sur l’œillet de l’homme et je vois qu’il entre lentement, mais inexorablement dans cet antre inconnu. Ses bourses arrivent à toucher mon front, comme il doit être profondément ancré dans le fondement de l’homme qui bande encore plus fort maintenant ! Puis le mouvement commence d’avant en arrière, et pareil au sexe qui me pistonne, je vois que mon mari encule cet inconnu qui semble apprécier l’instant présent. Dans mon minou, le feu reprend de plus belle et maintenant je crie, de plaisir, d’excitation d’envie.
Comme c’est bon, comme c’est doux. Durant les va-et-vient je lèche aussi la tige qui entre et sort du cul inconnu. La fièvre semble s’être emparée de nous tous. Je ne sais pas combien de fois je prends mon pied, je n’arrive plus à compter ni à gérer la montée de mon plaisir, je suis ballottée par mes orgasmes et mes gémissements sont désormais ininterrompus. Puis le ballet change et je suis positionnée pour une levrette qui me fait aller d’avant en arrière, m’empalant tantôt sur une bite tantôt sur une autre. Ma bouche n’est jamais libre non plus, je suce, je tète, je salive sur ces queues qui se présentent à l’orée de mes lèvres. Maintenant un des deux amis est venu s’étendre près de moi et je suis mise à califourchon sur son engin qui reste tendu. Il commence à me limer sans ménagement, mes cuisses ruissellent de mouille.
Je sens qu’un gland vient presser sur mon œillet, et l’anneau cède sous la pression. Mon souffle en est littéralement coupé, me voilà proprement enculée, moi qui refuse toujours cette forme de sexe. La douleur ressentie par le passage de la queue est atténuée par les va-et-vient de celle qui habite ma chatte. Je sens que l’on me prend par les tempes et le troisième vit est dans ma bouche. Tous se mettent en mouvement, se synchronisent et me voilà frémissante, prise par tous mes orifices et c’est impensable, mais j’y prends un incroyable plaisir. Je jouis comme une folle, mais je ne peux plus que soupirer. Je sens le premier spasme de la bite qui enfle dans ma bouche et un flot de sperme me coule dans la gorge.
Je bois, j’avale jusqu’à plus soif ce que je refuse catégoriquement d’habitude. Entre mes fesses, je ressens aussi la montée du plaisir masculin et Michel décharge avec un long soupir d’aise…
L’homme sous moi se retire et alors que les deux autres, satisfaits et repus s’allongent sur le sable, ce dernier, disais-je viens à califourchon sur ma poitrine, il me fait ouvrir la bouche, se masturbe un instant et sa semence me coule elle aussi dans la gorge. Alors Michel vient poser ses lèvres sur les miennes et un baiser poivré nous unit longuement.
Quand nous rouvrons les yeux, la plage est déserte, nous sommes comme seuls au monde, mais nos corps sont détendus et calmes. La nuit est quant à elle est déjà bien avancée…
Mon mari me murmure :
— Merci ! Ma jolie petite Salope !